La fréquence de massage se détermine en fonction des objectifs que vous vous fixez. Dans certains cas une séance seule peut répondre à vos attentes. D’autres fois, il faut envisager une mini cure, avec plusieurs séances rapprochées. Parfois, seule la régularité sera salvatrice, à raison d’une fois par semaine, ou d’une fois par mois.
Nous avons tous en mémoire les images de ces coureurs du tour de France qui, à l’issue de l’étape, accordent une interview alors qu’ils sont allongés sur le banc de massage. Pour autant, faut-il en conclure que le massage vient nécessairement après la séance de sport ?
Certes le massage est essentiel à tout âge. Mais voilà plus de 4000 ans que preuve est faite : il s’impose particulièrement avec le vieillissement, quand le corps perd certaines capacités à s’auto régénérer et que s’accumulent les petites usures. Il devient ainsi indispensable, pour se préserver, de s’offrir des zones de confort dans un quotidien quelquefois chagrin.
Clarifions d’entrée de jeu : si le massage est nécessairement sensitif et souvent sensuel, il n’est en revanche pas compatible avec le registre sexuel.
Le massage bien-être ne présente pas de contre-indication pour une personne en bonne santé. Et, cette activité ne relève pas de la sphère médicale. Néanmoins, votre masseur est formé pour identifier les précautions à prendre. En cas de contrindication, il vous dira qu’il ne lui est pas possible de vous masser. Pour votre part, en prenant rendez-vous pour un massage bien-être, vous déclarez -de fait- que votre santé vous permet de le recevoir. Si vous avez un doute, si vous vous connaissez une maladie, il vous appartient de consulter votre médecin traitant.
Il n’y a aucune comparaison entre le massage d’une personne de 75 ans qui recherche un peu de bien-être dans un quotidien fait de petites douleurs, celui d’un actif de 30 ans qui aspire à un moment de relaxation et de retour sur soi ou, celui d’un sportif de 50 ans qui vient se faire masser des mollets de campeur trop contractés.